TÉLÉGRAMME DU DIPLOMATE – Londres et Washington : La relation spéciale 2.0

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Capture d'écran - Donald Trump et le roi Charles III s'entretiennent de manière détendue pendant le banquet organisé au château de Windsor lors de la première journée de la visite d’État du président américain au Royaume
Capture d’écran – Donald Trump et le roi Charles III s’entretiennent de manière détendue pendant le banquet organisé au château de Windsor lors de la première journée de la visite d’État du président américain au Royaume

Par Giuseppe Gagliano, Président du Centro Studi Strategici Carlo De Cristoforis (Côme, Italie) 

La visite d’État de Donald Trump au Royaume-Uni s’est transformée en démonstration de force diplomatique et économique. 

À Chequers, Trump et Keir Starmer ont signé un accord massif sur l’intelligence artificielle et l’énergie nucléaire, pour un total de 150 milliards de livres d’investissements américains, intégrés dans un plan global de 250 milliards.

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Microsoft, Nvidia, OpenAI et Blackstone figurent parmi les acteurs impliqués. L’objectif est de faire du Royaume-Uni un hub technologique majeur et de consolider l’alliance économique transatlantique. 

Pour Trump, ce voyage est aussi une vitrine politique : il revendique avoir obtenu 350 milliards de dollars d’accords globaux en Europe.

La visite a été marquée par un banquet d’État à Windsor, en présence de la famille royale et des PDG de grandes entreprises mondiales. Ce décor a souligné la dimension de soft power de l’événement.

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Sur le plan international, Trump a exprimé sa déception envers Poutine et appelé à réduire l’achat de pétrole russe pour affaiblir le Kremlin. 

Starmer a insisté sur la nécessité d’une pression internationale accrue. 

Sur Gaza, les deux dirigeants ont reconnu un désaccord sur la reconnaissance de l’État palestinien, mais ont convenu d’élaborer une feuille de route pour la paix et de libérer les otages.

Ce sommet relance la « relation spéciale » et envoie un message : malgré les tensions globales, l’axe Londres-Washington reste le pilier de l’ordre occidental et entend peser sur les dossiers stratégiques mondiaux – de l’Ukraine à la transition énergétique.

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