TRIBUNE – La démocratie peut-elle se réinventer ?
Par Julien Aubert Paradoxe. Lorsqu’en 2017 Emmanuel Macron accède à la présidence, il incarne un immense espoir démocratique. Une génération […]
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Par Julien Aubert Un spectre hante l’Europe, le spectre du … dronisme. Cette paraphrase du manifeste du Parti communiste pourrait
Par Julien Aubert Au sommet de l’organisation de coopération de Shangaï, à Tianjin, la Chine (Xi Jiping), la Russie (Vladimir
Par Julien Aubert Jouez-vous aux échecs ? Au jeu d’échecs, le pat est une position dans laquelle le camp ayant
Les derniers soubresauts des élections législatives du début de l’été se font encore sentir et le résultat quasi-final n’est pas piqué des hannetons. Le système politique français est désormais dans une redoutable position d’échec et mat, où plus personne ne peut vraiment débloquer la situation.
Les urnes ont parlé et le résultat des élections législatives françaises est inattendu. Du fait de l’entente contre-nature de l’ensemble des forces politiques, le Rassemblement national, premier parti de France, s’est retrouvé minoritaire en sièges.
Nous sommes 80 ans ou presque après la fin de la seconde guerre mondiale, et pourtant la France semble bloquée dans un piège temporel. Comme le démontre la campagne actuelle des élections législatives en France, tout tourne autour du rabâchage ou ressassage hystérisé des « pages les plus sombres de notre Histoire », c’est à dire la France de Vichy, de la collaboration et plus largement des années de guerre.
À l’heure où nous approchons du 80ème anniversaire de la victoire sur le régime nazi, constatons un fait évident : jamais le souvenir de la seconde guerre mondiale n’aura été autant agité par les protagonistes du conflit en Ukraine, au risque d’inverser les leçons de l’Histoire.
Le projet olympique a longtemps symbolisé un rêve, celui d’un monde de paix. Lorsqu’un pays candidatait pour accueillir les jeux olympiques, c’était un honneur mondial et l’occasion pour lui de mettre en avant le meilleur de lui-même, qu’il s’agisse de ses sportifs mais aussi de son capital culturel, patrimonial ou gastronomique. Les Jeux Olympiques étaient un momentum, une parenthèse apolitique ; une rencontre entre un pays et le monde, avec des athlètes et spectateurs des quatre coins de la planète débarquant pour célébrer le genre humain, la paix entre les Nations et les valeurs du sport.
Odessa fait partie de ces villes romanesques qui peuplent les imaginaires des peuples. D’après les russes, c’est une ville au nom mythique fondée en 1794 par une impératrice (russe), Catherine II, avec pour maitre d’ouvrage, un français, lointain cousin du cardinal de Richelieu. Elle incarne l’âge d’or de l’expansion tsariste, sur la route de Constantinople.