
« Nous les sans dents » est le tout dernier livre de Nicolas Vidal. On y retrouve sa plume acérée, mordante, pamphlétaire.
Il présente cet ouvrage comme une mise en garde, une alerte adressée à une élite qui, selon lui, a tourné le dos à une partie du peuple français et contribué à fracturer le pays entre ceux d’en haut et ceux d’en bas.
À cette occasion, nous retrouvons Nicolas Vidal — fondateur de Putsch Media, animateur de Putsch Live et matinalier sur Tocsin — pour cet entretien exclusif sur Le Diplomate média.
Voici le lien pour l’achat du livre.
Propos recueillis par Philippe Pulice
Le Diplomate : Dans ce livre, comme dans le précédent, vous dénoncez une élite enfermée dans sa bulle, déconnectée, presque endogamique, qui selon vous ne représente plus le peuple et affiche un mépris assumé à son égard. Vous reprenez même l’expression « les sans dents », attribuée à François Hollande, pour qualifier ceux qu’elle relègue.
Pensez-vous que ce mépris de classe — pour reprendre vos mots — s’est encore accentué ces derniers mois ?
Nicolas Vidal : Ce mépris de classe est en constante progression et prend de plus en plus d’ampleur avec l’effondrement du pays. Pourtant, la révolte légitime des Gilets Jaunes aurait dû alerter cette petite caste germanopratine et mondialiste sur les fractures profondes de la société française qui étaient en train de se creuser dangereusement. Mais il n’en fut rien. Ce basculement historique n’a eu aucun effet sur une « élite » qui a poursuivi sa marche funèbre vers l’implosion de la nation. Ce mépris de classe, qui sous bien des aspects devient pour quelques-uns une haine de classe, prend sa source dans l’effondrement intellectuel et culturel d’une majorité non négligeable de « sachants », de décideurs et de représentants politiques. Ainsi, les voilà ventripotents de puissance, de réseaux et de moyens financiers, assumant totalement le mépris de classe, et s’accrochant frénétiquement aux manettes du pays. Ils ont fait des centres décisionnels importants de l’État des bunkers où la démocratie n’a plus cours. Et ils ont décidé unilatéralement que la légitimité ne devait plus être la valeur cardinale de toute action politique, et de fait, que l’intérêt collectif n’avait plus à être recherché, et que la coercition serait le moyen d’imposer toute politique illégitime.
De plus, il est effrayant de noter que bien des gens au gouvernement ou au plus haut niveau de l’État n’ont plus d’épaisseur, plus de convictions ancrées, ni de vision pour la France. Certains ont pour objectif de remplacer les Français par les marchés et, pour cela, ouvrir de nouvelles opportunités de carrières personnelles. Il faut privatiser son action pour faire fructifier des intérêts personnels et mercantiles. Ainsi, on se tourne vers Bruxelles, vers de grands groupes internationaux et, depuis longtemps, vers Washington. Pour eux, la France, la nation ne représentent absolument plus rien, si ce n’est une organisation coercitive, chargée entre autres de prélever l’impôt et d’imposer à la population un narratif qui va à l’encontre de nos intérêts fondamentaux.
Et ce mépris de classe n’est que la réaction naturelle d’une caste à un peuple qui ne veut plus demander la permission et qui refuse catégoriquement d’être dissous économiquement, démocratiquement et culturellement.
Vous décrivez une élite — politique, médiatique, intellectuelle, culturelle — acquise à l’idéologie mondialiste, qui selon vous ne cherche plus à convaincre, mais à vaincre. Pourquoi ce basculement dans un rapport de force ?
Est-ce parce qu’elle a compris qu’elle avait perdu son soft power intellectuel, et qu’elle n’est donc plus crédible ? Ou, tout simplement, parce qu’elle sait pertinemment que les idées qu’elle promeut ne servent pas l’intérêt de l’immense majorité des Français — et qu’il est donc vain d’espérer les faire adhérer ?
En réalité, cette caste ne cherche plus à convaincre car, d’une part, elle est l’une des composantes du rouleau compresseur mondialiste en action qui impose ses idéologies par la force, avec une certaine forme de totalitarisme plus qu’inquiétant.
Et d’autre part, comme je l’évoquais plus haut, le désastre intellectuel de ces élites a littéralement asséché ce qui faisait, entre autres, la grandeur de la France : la Grande Dispute et l’importance du débat public. Cette caste politique, médiatique, intellectuelle, culturelle, au fil des années, s’est culturellement effilochée pour devenir, en fin de course, un maelström d’individualités liquides, prêtes à toutes les compromissions pour servir des intérêts particuliers et personnels. Car il n’y a plus d’épaisseur, plus de charpente, plus d’identité. Seulement une endogamie qui se développe au contact des intérêts de classe et des cercles d’influence, et qui ne survit que grâce à un narratif totalement opposé à la réalité du pays. Ainsi, la caste au pouvoir impose une direction politique au peuple contre son consentement et, plus grave, ses intérêts vitaux. Ainsi, la junte médiatique n’a plus qu’à relayer les éléments de langage pour tenter de juguler coûte que coûte la désespérance populaire, comme je l’ai longuement démontré dans l’un de mes anciens livres « Médias : le grand errement » (Ed. Hugo Doc / 2021).
Ainsi, la dissolution de la France et sa vente à la découpe doivent être traitées d’une façon qui laisse entendre que ce n’est pas un projet délibéré de destruction, mais au contraire un plan indispensable de « réformes difficiles » pour redresser le pays, dans lequel « les Français doivent prendre toute leur part en continuant à faire des efforts ». Et les médias du système s’y emploient nuit et jour pour faire passer la pilule à une partie de la population perfusée aux chaînes infos.
Mais à ce jour, force est de constater que le bateau est en train de couler, et il faut faire preuve d’un aveuglement presque pathologique pour ne pas s’apercevoir que nous prenons l’eau de toutes parts.
Vous affirmez que beaucoup de Français n’ont pas encore pris conscience du lien entre la situation qu’ils subissent et une idéologie politique — que vous qualifiez d’idéologie de la trahison — dont ils seraient devenus les victimes expiatoires.
Cette idéologie mondialiste qui vise, entre autres, à affaiblir les nations et à déconstruire tout sentiment d’appartenance à l’identité nationale.
Mais il faut dire que peu de gens sont réellement disposés — pour diverses raisons — à admettre, voire même à concevoir, que leurs dirigeants n’agissent pas pour leur bien. N’y a-t-il pas là une forme de naïveté ambiante, sur laquelle le pouvoir s’appuie ?
Il y a depuis plus de 30 ans un projet très clair d’abrutissement massif des populations pour faire accepter le tournant libéral des années 80 sous Mitterrand. Et plus largement, la marche forcée vers la mondialisation. Alors que notre classe politique — et notamment la gauche — a jeté délibérément le pays dans les griffes acérées du marché et de l’Union européenne, il était nécessaire d’anticiper l’écueil populaire. Donc, il a été question très rapidement de vanter les vertus et les mérites de la mondialisation heureuse, pour que les populations nourrissent le secret espoir d’un avenir à l’American way of life : le SUV, le crédit immobilier, les vacances, le robot cuisine dernier cri et l’écran plat dans le salon. Ainsi, ils ont progressivement déraciné culturellement les individus et les ont désarmés intellectuellement pour en faire de parfaits consommateurs dans le grand supermarché mondial, dans lequel nous pourrions acheter des fringues en Chine trois fois moins chères qu’en France, ou partir à l’autre bout de l’Europe via des compagnies low-cost, ou encore louer une grosse voiture en leasing, sans se soucier du fait de vivre au-dessus de ses moyens.
Il fallait par tous les moyens vider les cerveaux à la louche et se débarrasser, par tous les moyens et le plus rapidement possible, de l’esprit critique. Il fallait s’employer à faire de l’Éducation nationale une grande garderie nationale dans laquelle toutes les idéologies se sont immiscées pour remplacer l’instruction et préparer le plus grand nombre à la démocratie Ikea. Il n’y a qu’à voir aujourd’hui l’immense succès de l’entreprise de destruction et, pour s’en convaincre, un rapide coup d’œil au classement PISA apporte quelques indications de première importance.
Et l’estocade a été portée par la télévision généralisée dans l’ensemble des foyers, puis, quelques années plus tard, par l’arrivée des téléphones portables et des réseaux sociaux. Il fallait éradiquer la citoyenneté, qui devenait un danger de première intensité. Et le pari fut brillamment réussi, car on encadre plus facilement des consommateurs qu’on gouverne des citoyens. C’est ainsi que des millions de Français n’ont plus été en capacité de faire le lien entre la dégradation de leur situation financière et la trahison du pouvoir. Et ils n’ont donc pas pris conscience de leur déclassement, alors que c’est une violence sociale extrêmement douloureuse, qui fut, à bien des égards, le point de bascule de nombreuses révoltes et révolutions. À bien y réfléchir, c’est vertigineux.
À lire ausis : Décryptage de la crise au Venezuela – Avec Francis Mateo pour Le Diplomate
On constate — non sans amertume — que le réflexe de diabolisation est devenu systématique, quels que soient les sujets. Les voix dissonantes, les dissidents, ceux qui s’écartent de la doxa dominante, sont aussitôt cloués au pilori, disqualifiés, caricaturés, exclus du débat public.
Mais n’est-ce pas, au fond, le signe d’un pouvoir qui vacille ? Cette stratégie de diabolisation, souvent outrancière, n’a-t-elle pas pour seul objectif d’éviter toute forme de « contagion » ?
Ce procédé s’intensifie au fil des semaines avec une violence stupéfiante et soutenue contre ces voix discordantes — et contre nous, les médias indépendants. Complotiste, antivax, pro-Poutine, extrême droite : tout est bon, vous avez raison, pour disqualifier les voix et les prises de position qui sortent du narratif et qui osent d’autres points de vue. Il y a clairement un fond de sauce très totalitaire, porté par un pouvoir qui se crispe parce qu’il vit son crépuscule. Alors, tous les coups sont permis pour tenter de disqualifier, de discréditer et d’intimider tous ceux qui se hasardent à sortir du chemin tracé. Il y a clairement une crainte de la contagion, dont nous serions les parfaits agents infectieux, selon les sphères du pouvoir. Il faut donc, intellectuellement, nous faire taire, nous confiner, et à minima, nous placer en quarantaine.
Aujourd’hui, nous sentons très bien qu’ils sont de plus en plus agressifs, et qu’ils ont beaucoup de mal à le masquer. Mais la trahison politique et l’incompétence élevées au rang d’art sont le meilleur vecteur pour que des milliers de Français se rendent compte par eux-mêmes de l’effondrement du pays. Et chez beaucoup, cette prise de conscience s’accompagne d’un sursaut citoyen qui, inévitablement, amène ces Français à se tourner vers des médias comme les nôtres. Et ça, là-haut, ils ne le supportent pas. Au fur et à mesure, la diabolisation doit être vécue comme une légion d’honneur que nous pouvons fièrement accrocher sur la poitrine. La caste est aux abois, et tout cela fleure bon la chute de l’Ancien Régime. La lutte d’une partie de la population contre les ZFE témoigne bien de cette fracture et pourrait annoncer un nouvel affrontement violent.
Pour éviter la « contagion », le pouvoir ne se contente plus de la diabolisation : il a recours de plus en plus ouvertement à la censure — une censure qui monte en puissance, et qui devient à la fois plus brutale et plus visible.
Elle peut prendre plusieurs formes. Le cas récent de TVL, à qui l’on a fermé les comptes bancaires, en est un exemple frappant.
Autant il est encore possible de riposter à la diabolisation, autant nous sommes souvent impuissants face à la censure.
Qu’en pensez-vous ? Et vous, personnellement, vous sentez-vous aujourd’hui menacé ?
Oui, la censure est la meilleure preuve d’un pouvoir qui ne maîtrise plus rien, mais qui n’a pas encore compris — empêché par son désastre cognitif — que sa chute est proche. Donc il devient plus agressif, plus autoritaire, plus totalitaire. Et il déploie ce qui lui reste d’artillerie pour pilonner ce qu’il considère comme étant ses ennemis, dans un dernier baroud d’honneur. Pourtant, dans son camp, les désertions se multiplient. Mais cela reste la phase la plus dangereuse. Nous en avons eu un aperçu au plus fort de la crise des Gilets Jaunes, où l’État de droit a été mis au chômage technique.
Il n’y a plus de règles et plus de droit lorsqu’il s’agit de protéger une caste acculée. Nos confrères et amis de TVL subissent, comme nous tous, à des degrés plus ou moins forts, les foudres du système, qui en plus manque de courage, car ces attaques ne sont jamais frontales et jamais revendiquées. Lorsque l’État de droit se transforme en droit de l’État à imposer ce qui sert ses intérêts au détriment de ceux du pays, nous devons tous nous sentir menacés.
Selon vous, la défiance entre le peuple et une certaine élite est désormais massive, mais aussi mutuelle. Cette rupture de confiance a entraîné un renoncement profond vis-à-vis de la classe politique — un renoncement que vous décrivez comme un poison.
Une forme de bombe à retardement, car face à l’absence de dialogue, il ne resterait, dites-vous, que la violence. Et vous semblez désigner l’année 2025 comme une échéance majeure. Pourquoi ?
Depuis quelques semaines, je suis moi-même effaré par l’accélération d’une forme de totalitarisme de cette caste, qui ne se cache même plus de ses propres turpitudes et de ses funestes objectifs. Face à la contestation et à la détestation populaire qu’Emmanuel Macron suscite, il semble que toutes les digues aient sauté. Il ne reste plus à ce pouvoir que la communication à outrance, le déni, et même une forme aiguë de schizophrénie, à tenter de nous faire croire que le pays est sur la voie de la résurrection — alors même que n’importe quel Français fait chaque jour l’expérience d’une situation qui empire de façon absolument effrayante, et que nous allons tout droit au crash.
Moi-même, en tant que journaliste politique, je suis stupéfait par l’apathie avec laquelle l’opposition ne s’oppose plus à rien — et surtout pas à ces généreuses indemnités et aux privilèges qui les accompagnent. Mais cette situation grave, et cette attitude irresponsable, permettent l’éclatante démonstration que l’opposition politique, tous bords confondus, n’a qu’une seule obsession : l’élection présidentielle de 2027. Elle doit donc s’assurer d’une forme de statu quo, en espérant parvenir à cette échéance sans trop de tempête. Mais pour y parvenir, il faut maintenir Macron jusque-là. Ainsi, les motions de censure s’écrasent les unes après les autres, et la destitution d’Emmanuel Macron reste absolument inenvisageable — même si elle apparaît comme la seule issue viable, dans l’éventualité où celui-ci ne démissionnerait pas. Ainsi, cette situation intenable démontre de façon flagrante que le système, dans son ensemble, ne répond plus qu’à des intérêts de partis — et donc de postes — qui ont pris le pas sur la protection de la France et des Français. Car sans incarnation politique, dans un effondrement de cette ampleur, tout cela finira très mal.
La suppression des ZFE a tout récemment été votée en commission à l’Assemblée nationale. N’est-ce pas, à vos yeux, une victoire éclatante de ce peuple méprisé et invisibilisé ?
Un pied de nez, entre autres, à ces écologistes eux-mêmes déconnectés, enfermés dans leur bulle, plus enclins à pratiquer une écologie punitive contre les peuples qu’à s’en prendre aux grands pollueurs mondialisés. Comment expliquez-vous cette victoire — et surtout : quels enseignements peut-on en tirer pour la suite ?
Oui, une victoire absolument éclatante, d’autant plus qu’il n’y a eu aucune mobilisation de grande ampleur dans plusieurs grandes villes. J’étais pour ma part à Montpellier en avril dernier, et nous étions à peine 200 sur une agglomération de plus de 500 000 habitants. C’est dire qu’une majorité de citoyens ne sont pas intéressés par le sujet, ou ne daignent pas changer leur emploi du temps pour revendiquer — et d’autres n’étaient même pas au courant de la mise en place de ces zones à faibles émissions. Mais la mobilisation importante sur les réseaux sociaux, appuyée par des figures médiatiques comme Alexandre Jardin, a mis de nombreux députés au pied du mur de leur mandat.
C’est ainsi que la pression populaire a contraint une majorité de députés à voter contre. Mais c’était sans compter sur l’obsession mortifère de la macronie, qui refuse d’entendre le peuple français par sa représentation nationale. Agnès Pannier-Runacher, Éric Lombard, Roland Lescure, et enfin Emmanuel Macron ont clairement refusé d’appliquer la décision de la représentation nationale, en insistant sur le fait que les ZFE devraient être imposées à 21 millions de Français. Ces gens incarnent une morgue antidémocratique, totalitaire et brutale — et ils ne s’en cachent plus. Et le mépris de classe est total ; pour certains, ils n’hésitent plus à afficher une haine de classe absolument délirante. En réalité, ces gens exhibent leur forfaiture dans les médias du système : gouverner contre le peuple et l’assumer pleinement, en appelant cela du courage. Moi, j’appelle cela de la trahison.
Dans votre ouvrage, vous utilisez à de nombreuses reprises l’expression « les miens » — dix fois, si je ne me trompe pas. Ce choix n’est évidemment pas anodin.
Est-ce la volonté affirmée de représenter cette partie du peuple que vous estimez méprisée, invisibilisée, trahie ?
Est-ce une manière de vous positionner comme leur porte-voix pour la suite ? Ou le signe d’un engagement plus actif encore : celui de vouloir structurer, voire organiser, cette révolte dont vous parlez ?
Je suis issu de la France périphérique, avec de profondes racines dans la classe populaire et paysanne. Et dans ce livre, j’ai eu envie d’apporter un témoignage, sur lequel j’ai tissé une analyse sociale, car mes origines font que j’y suis très sensible. De plus, je vis dans un petit village de l’Hérault, où ces problématiques sont au cœur des discussions et des modes de vie. Et l’exaspération, la défiance ont dépassé les seuils d’alerte. Ici, la classe politique est totalement discréditée. Personne n’y croit plus. Le fossé est immense, la désespérance totale et la colère aiguë. La situation se détériore rapidement, comme partout dans le pays. Et l’apparente apathie est trompeuse. Les gens sont à bout.
Néanmoins, il n’est pas question ici de représenter qui que ce soit ou de m’autoproclamer porte-voix. Je souhaitais simplement poser une analyse de terrain, qui n’a pu faire l’économie d’un cri d’amour, presque charnel. Mon unique engagement est celui d’un journaliste indépendant, éditorialiste et créateur d’un média non subventionné, qui tente tous les jours d’apporter des éléments journalistiques les plus honnêtes possible. Je n’ai jamais été attiré par la politique. Je tiens trop à mon indépendance pour m’acoquiner à un parti ou à quelque organisation citoyenne que ce soit. Je refuse le compromis, et je suis obsédé par le fait de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons, et de proposer une multitude de grilles de lecture et de voix nouvelles, pour que les lecteurs de Putsch se réarment intellectuellement.
Mais pour réaliser ma mission, je préfère vivre au milieu des miens. Car ce sont eux qui sont les défenseurs de notre civilisation, et qui seront en mesure de redresser ce pays à force de bon sens.
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